L'appel du feu de camp est une série de quête non-premium dans le jeu Les Simpson : Springfield. Elle a été ajoutée au jeu le 06 Octobre 2015 lors de l'Événement d'Halloween 2015. Elle est en 14 parties et débute l'acte 1 de l'événement.
Envoyez les enfants fabriquer des sucreries pour générer des zombies (x2). Amassez des gains d'Halloween pour débloquer votre 1er prix. Tapotez les zombies. (x10)
100 100
4h
--
--
Bart
L'appel du feu de camp, partie 6
Dites à Lisa de raconter accidentellement une histoire qui fait peur.
"Halloween, ça se résume pas aux petites décos rigolotes ! C'est surtout des gosses qui se réunissent pour se raconter des histoires qui foutent les jetons."
"Et avec des bonbecs, plein de bonbecs !"
"Super idée, Bart ! On va rassembler nos copains et se raconter des histoires de fantômes ! On pourrait même faire ça dehors, autour d'un feu de camp !"
"Ah bon ? Moi je pensais juste glander devant la téloche et regarder les programmes d'Halloween avec mes potes."
"Mais développe un peu ton idée de "feu de camp"... Ça m'intéresse."
"Oui, c'est l'idée. Mais mon vrai nom est impossible à prononcer pour un humain."
"Il faut rouler le "R" avec les tentacules labiaux supérieurs."
"Mons-trrrrorrr ?"
"On peut passer à autre chose ? On ne va pas y passer le millénaire, non plus !"
"Que faites-vous ici ?"
"Je suis là pour rendre à l'humanité sa liberté et sa nature sauvage. Loin de toute considération légale ou morale."
"Je veux enseigner aux humains de nouvelles manières de crier, tuer et hurler de joie. Jusqu'à ce que la Terre entière s'égosille dans un même élan extatique."
"En gros, c'est ça l'idée. Mais on n'est pas obligés de la suivre à la lettre ! Je n'aime pas, quand ça fait trop scolaire..."
"Mais tu délires, Lisa, les fermiers parlent jamais comme ça ! C'est pas possible !"
"Et Lisa remporte le concours de l'histoire la plus effrayante !"
"Ben voyons !"
"Attendez, je n'étais pas en train de raconter une histoire. C'était simplement une métaphore expliquant que toute interaction avec vous - monstrueux menteur - risquait de se retourner contre..."
"Oh... vous m'avez piégée, c'est ça ?"
"Ouah, des serpents ! Ils sont apparus de nulle part !"
"Eh si ! Je suis à la fois leur père et leur mère."
"Ah bon ! Qu'est-il arrivé à leur vraie mère ?"
"Rien, c'est notre reproduction qui est ainsi faite. Je m'accouple avec moi-même et --"
"Merci, on se passera des détails."
"Je me demandais si vous seriez d'accord pour répandre ma progéniture dans d'autres villes de Springfield."
"Pourquoi pas ? Par contre, je ne peux pas assurer qu'ils seront en sécurité partout."
"Oh, tant mieux ! La philosophie parentale r'lyehienne est plutôt du genre : "Les enfants, c'est bien, pourvu qu'on les voie et qu'on les entende le moins possible"."
"Si vous, les humains, considérez vos enfants comme des extensions de vous-mêmes, nous préférons les considérer comme "le problème des autres"."
"Tu ne crois pas que c'est la raison pour laquelle vous êtes tous aussi démoniaques ?"
"Oh non, c'est de naissance ! On a le mal dans les gènes, que veux-tu."
"Bref, je vous laisse distribuer tous ces énergumènes à vos amis !"
"Milhouse, t'es dingue ? Tu sais ce qui se passera, si tu racontes une histoire de monstres ?"
"Mais je veux pas raconter une histoire de monstres !"
"Je veux parler de la fois où ma mère m'a emmené me faire prendre en photo avec le Lapin de Pâques, au centre commercial. J'ai eu une de ces trouilles !"
"C'est pas une histoire qui fait peur... sauf à toi."
"T'as peur des lapins ?"
"Pas des vrais lapins. Là, c'était un déguisement, avec des trous à la place des yeux au milieu de sa tête géante. Je voyais le gars derrière. Même qu'il mâchait un chewing-gum !"
"Il a dit à ma mère qu'elle avait de jolies chaussures. Tu parles, c'étaient des vieilles sandales ! L'horreur !"
“
Des lapins sont maintenant générés au feu de camp !
"Un fier jeune homme voyageait en train. Soudain, il entendit des cris provenant de l'avant du train."
"La moitié du pont, droit devant, s'était écroulée. Les passagers du train étaient désespérés."
"L'homme assis en face de lui l'informa qu'il était un génie et qu'il pouvait exaucer trois de ses souhaits."
"Condition imposée : il n'avait que quelques secondes pour les formuler..."
"Le garçon répondit brusquement : "Je voudrais perdre ces 5 kg en excédent.""
"Le génie s'étonna, outré : "Mais que fais-tu, pour tous ces voyageurs affolés ?""
"Le garçon rétorqua : "Eux aussi peuvent perdre 5 kg de gars ! Deuxième vœu : je ne veux pas devenir vieux.""
"Mais il avait trop tardé, le train était déjà tombé..."
"Les flammes brûlèrent la chair des passagers, dont il ne resta que des squelettes. Celui du jeune homme fut exposé dans un musée et intitulé : "Jeune homme trépassé dans une tragédie ferrée.""
"Tous les visiteurs du musée eurent l'impression que ce garçon était une vraie plaie. Voilà, fin de l'histoire."
“
Des squelettes sont désormais générés au feu de camp !
"Oooh, mais c'est quoi, ça ?! Des tout petits verres d'alcools ?"
"On appelle ça des "jello-shots" - des cocktails à la gélatine. Mais tu ne peux pas les boire maintenant, il faut d'abord attendre qu'ils se gélifient."
"Combiner beuverie et dessert ? J'adore cette idée..."
"Mais je déteste attendre !"
"Ça me laissera le temps de me changer."
"Il faut que j'aille... m'épiler."
"Bah t'es déguisée en chat : les poils, ça fait partie du costume !"